Bal de danse
Souvent j'ai le blues, vraiment violet de rage,
Captivé comme un ours, enfermé dans sa cage.
Cette misérable existence, ce n'est pas une vie,
Même après persistance, ça ne devient pas joli.
Les barres restent, on nomme ça de la politique,
Mais comme toutes les pestes, cela est bigamique.
Parce-que les lois, ne sont pas pour les gens,
On n'a plus de droits, sauf donner notre argent.
Pour qu'il y ait encore des danses, au château d'Elysée,
Nous n'avons pas cette chance, d'être un jour invité.
Prends-moi dans tes bras, je le souhaite bien,
Ensemble on oublie tout ça, on ne donne plus rien.
Temps d'appeler les copains, on n'avance pas,
Les heures soudaines, et la révolution est là.